L’illettrisme qu’on pensait avoir vaincu en Afrique du Nord, et tout particulièrement en Tunisie, refait surface avec de plus en plus de cas d’échec scolaire. Ce sont, essentiellement, les femmes qui en souffrent en raison de leur habitations éloignées et leur positionnement au second plan des priorités sociales. Ceux et celles qui ont la chance de sauter le pas, demeurent au niveau primaire et décrochent rapidement au lieu de poursuivre leur cursus scolaire avec succès. Anouar intègre cette priorité du devoir d’instruction dans les priorités de son programme annuel et viendra en aide via un soutien scolaire assidu.